Initiatives en cours
Encourager les opérateurs, les registres et les bureaux d’enregistrement du système des noms de domaine (DNS) à choisir des pays africains pour y mettre en œuvre et déployer des extensions de sécurité du DNS (DNSSEC), tout en travaillant avec les opérateurs de réseau à l’activation de la validation DNSSEC. À terme, ces efforts conduiront à la création d’un portail de ressources du DNS pour l’Afrique.
Faire connaître et comprendre l’importance de DNSSEC, et promouvoir son adoption et déploiement en Afrique.
Promouvoir le déploiement et la validation DNSSEC par le biais de stages de renforcement des capacités et de formations pratiques dites « déployathons » dans au moins 20 autres pays africains au cours des trois prochaines années.
Le DNSSEC contribue à renforcer la confiance dans l’Internet
en empêchant les attaquants d’altérer les données du DNS, grâce à des signatures numériques qui authentifient l’origine des données et garantissent leur intégrité. Son adoption à plus large échelle en Afrique se traduit par une meilleure protection contre des attaques, une plus grande fiabilité pour les internautes et une infrastructure DNS plus résiliente dans l’ensemble du continent.
Une adoption plus large en Afrique signifie :
Une protection renforcée contre les attaques
Une plus grande fiabilité pour les utilisateurs d'Internet
Une infrastructure DNS résiliente à travers le continent.
Depuis leur lancement vers la mi-2023, les campagnes itinérantes d’information ont connu une expansion soutenue :
ont bénéficié des activités de formation au cours de la première étape. Le Botswana a réactivé DNSSEC en mai 2024 après près de deux ans sans signature de zone ; le Burkina Faso a commencé les préparatifs de déploiement.
ont rejoint l’initiative en 2024. Le Cameroun et le Nigeria ont déjà achevé les évaluations préalables et les activités de la tournée d’information.
ccTLD ont activé DNSSEC, avec zone signée et enregistrement DS dans la racine (chaîne de confiance) ; .cm le 23 avril, .bf le 30 avril et .bi le 6 septembre. Le travail qui reste à faire concerne l’adoption de quelques documents opérationnels.
.cm and .bf are now fully DNSSEC operational, with signed zones and established chains of trust.
Six ccTLDs (.bf, .bw, .cm, .cv, .ng, .sd) have already engaged, showing growing momentum.
Deployments in .bf and .cm highlighted the value of pre-assessments, coordination, disciplined follow-up, and documentation — creating a playbook for others.
DNSSEC restored in May 2024 after nearly two years unsigned — proof of the Roadshow's impact.
Registries gained skills in testbeds, key management, upgrades, and monitoring. In Cameroon, a five-person team implemented DNSSEC quickly — proof that local readiness accelerates results. These efforts are helping seed a growing network of regional expertise that other countries can draw on.
Ateliers pratiques pour accélérer l'adoption du DNSSEC dans au moins 15 pays.
Assistance technique directe au Burkina Faso, Botswana, Cameroun, Cap-Vert, Nigéria et Soudan.
Un portail en ligne avec des guides, des modèles et des boîtes à outils
(en cours de développement).
Les campagnes itinérantes ne sont que le début.
D'autres pays se préparent à signer leurs zones, un centre de ressources DNSSEC dédié est en cours de développement, et un tableau de bord continental continuera de suivre les progrès. Ensemble, ces efforts construisent un Internet plus sûr et plus résilient pour l'Afrique.
